Les différents types de plantes exotiques

tant qu’autorité décisionnelle aux frontières, les douaniers n’ont pas nécessairement les compétences nécessaires en ce qui concerne les plantes exotiques et/ou les plantes envahissantes. Cela signifie que les pays accueillent volontairement ou non les espèces qui constituent une menace pour leur écosystème. Classé comme plantes envahissantes, les goyaves chinoises existent partout à Madagascar. En

Conservation de l’environnement par des mesures visant à prévenir les espèces envahissantes et les espèces exotiques. Tel est l’objectif principal de l’atelier sur les plantes exotiques et envahissantes qui se déroule jusqu’au 10 août à l’Hôtel Tana Antaninarenina. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre du projet sur la biodiversité de la Commission de l’océan Indien (COI) et financée par l’Union européenne. Assurer la limitation de l’entrée des plantes décrites comme exotiques et envahissantes en coordonnant les actions de contrôle effectuées par les différentes entités aux frontières est l’un des nombreux défis auxquels sont confrontées les différentes entités de contrôle. Dans le cas de Grande-Île, exotique et les plantes envahissantes existent en grand nombre. En plus de détruire les écosystèmes où ils sont plantés, les plantes envahissantes perturbent également la nature du sol (par acidification). Ils sont donc des facteurs de risque pour les espèces endémiques du pays. D’autant plus qu’une fois qu’ils sont situés dans une zone, il est difficile de les éradiquer. Bien qu’il existe des réglementations — internationales et/ou nationales —, les différents agents de contrôle luttent pour assurer l’imperméabilité des frontières.

Défis Limiter l’exportation de ces espèces grâce à de meilleurs contrôles aux frontières. Une préoccupation qui devrait être permanente parmi les agents de contrôle (agriculture, environnement, contrôle phytosanitaire ou forêts) aux frontières, si la protection de l’environnement est une priorité pour des pays comme Madagascar. Toutefois, ces différentes entités n’auraient pas les connaissances et les compétences nécessaires pour contrôler les entrées des usines en question. Bon nombre d’agents frontaliers ne sauraient pas ce qu’est une plante envahissante ou la les dangers qu’elle pose. Des initiatives visant à renforcer la capacité de ces pays – y compris les agents des douanes habilités à décider si des usines entrent ou non dans les pays membres de la COI — devraient être entreprises. De plus, s’il est difficile d’endiguer les plantes envahissantes, les exploiter comme ce qui est déjà fait avec le bambou, serait une option à ne pas négliger. Une ferme qui ne serait pas bénéfique sans les espèces décrites comme envahissantes ne sont pas répertoriées ni répertoriées. Mais aussi sans que l’espace ne soit développé de manière à préserver les autres espèces endémiques.

JoseBelalahy

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